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Dimanche 24 février 2019 

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        Lever de soleil sur la Loire en ce dimanche matin de février. Le brouillard a disparu depuis quelques jours...

      La lumière est belle et, malgré le froid, le spectacle est magique...

      Que la Loire est belle...

Jeudi 14 février 2019 

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        5 jours en Camargue pour essayer de voir (et photographier) les grues cendrées qui passent l'hiver près du petit Rhône depuis quelques années...

        Pas faciles à photographier, même si, comme il nous a été dit souvent "Y'en a partout !"...

      Jeudi, nous nous levons très tot pour affûter pour les grues...

      Après quelques observations, les jours précédents, nous décidons d'arriver très tôt (6 h 45) en bordure d'un champ "prometteur". Pas de grues à notre arrivée, mais vers 7 h 30, le ciel commence à se remplir de cris et vols des oiseaux... qui plongent tous vers le champ... derrière le notre...

      Et puis, par groupe de 3 au début, plus par la suite, "notre" champ se peuple un peu (environ 50 à 60 grues). Hélas loin (dans la partie éloignée par rapport à notre affût - plus de 100 m - sous un arbre, derrière les roselières). Je tente une ou deux photos en rampant et en ne laissant dépasser que le bout de l'objectif. Est-ce moi, ou un autre danger, elles s'envolent (ainsi que certaines de l'autre champ)...

      AAArgh ! Sacrées bestioles... Nos rêves de gros plans s'envolent...

      Heureusement, il nous reste Pont de Gau...

Jeudi 14 février 2019 

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        5 jours en Camargue pour essayer de voir (et photographier) les grues cendrées qui passent l'hiver près du petit Rhône depuis quelques années...

        Pas faciles à photographier, même si, comme il nous a été dit souvent "Y'en a partout !"...

      Jeudi, nous nous levons très tot pour affûter pour les grues...

      Après quelques observations, les jours précédents, nous décidons d'arriver très tôt (6 h 45) en bordure d'un champ "prometteur". Pas de grues à notre arrivée, mais vers 7 h 30, le ciel commence à se remplir de cris et vols des oiseaux... qui plongent tous vers le champ... derrière le notre...

      Et puis, par groupe de 3 au début, plus par la suite, "notre" champ se peuple un peu (environ 50 à 60 grues). Hélas loin (dans la partie éloignée par rapport à notre affût - plus de 100 m - sous un arbre, derrière les roselières). Je tente une ou deux photos en rampant et en ne laissant dépasser que le bout de l'objectif. Est-ce moi, ou un autre danger, elles s'envolent (ainsi que certaines de l'autre champ)...

      AAArgh ! Sacrées bestioles... Nos rêves de gros plans s'envolent...

      Heureusement, il nous reste Pont de Gau...

Jeudi 14 février 2019 

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        5 jours en Camargue pour essayer de voir (et photographier) les grues cendrées qui passent l'hiver près du petit Rhône depuis quelques années...

        Pas faciles à photographier, même si, comme il nous a été dit souvent "Y'en a partout !"...

      Jeudi, nous nous levons très tot pour affûter pour les grues...

      Après quelques observations, les jours précédents, nous décidons d'arriver très tôt (6 h 45) en bordure d'un champ "prometteur". Pas de grues à notre arrivée, mais vers 7 h 30, le ciel commence à se remplir de cris et vols des oiseaux... qui plongent tous vers le champ... derrière le notre...

      Et puis, par groupe de 3 au début, plus par la suite, "notre" champ se peuple un peu (environ 50 à 60 grues). Hélas loin (dans la partie éloignée par rapport à notre affût - plus de 100 m - sous un arbre, derrière les roselières). Je tente une ou deux photos en rampant et en ne laissant dépasser que le bout de l'objectif. Est-ce moi, ou un autre danger, elles s'envolent (ainsi que certaines de l'autre champ)...

      AAArgh ! Sacrées bestioles... Nos rêves de gros plans s'envolent...

      Heureusement, il nous reste Pont de Gau...

Jeudi 14 février 2019 

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        5 jours en Camargue pour essayer de voir (et photographier) les grues cendrées qui passent l'hiver près du petit Rhône depuis quelques années...

        Pas faciles à photographier, même si, comme il nous a été dit souvent "Y'en a partout !"...

      Jeudi, nous nous levons très tot pour affûter pour les grues...

      Après quelques observations, les jours précédents, nous décidons d'arriver très tôt (6 h 45) en bordure d'un champ "prometteur". Pas de grues à notre arrivée, mais vers 7 h 30, le ciel commence à se remplir de cris et vols des oiseaux... qui plongent tous vers le champ... derrière le notre...

      Et puis, par groupe de 3 au début, plus par la suite, "notre" champ se peuple un peu (environ 50 à 60 grues). Hélas loin (dans la partie éloignée par rapport à notre affût - plus de 100 m - sous un arbre, derrière les roselières). Je tente une ou deux photos en rampant et en ne laissant dépasser que le bout de l'objectif. Est-ce moi, ou un autre danger, elles s'envolent (ainsi que certaines de l'autre champ)...

      AAArgh ! Sacrées bestioles... Nos rêves de gros plans s'envolent...

      Heureusement, il nous reste Pont de Gau...

      14 février : la danse des amoureux... ou des rivaux...

Jeudi 14 février 2019 

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        5 jours en Camargue pour essayer de voir (et photographier) les grues cendrées qui passent l'hiver près du petit Rhône depuis quelques années...

        Pas faciles à photographier, même si, comme il nous a été dit souvent "Y'en a partout !"...

      Jeudi, nous nous levons très tot pour affûter pour les grues...

      Après quelques observations, les jours précédents, nous décidons d'arriver très tôt (6 h 45) en bordure d'un champ "prometteur". Pas de grues à notre arrivée, mais vers 7 h 30, le ciel commence à se remplir de cris et vols des oiseaux... qui plongent tous vers le champ... derrière le notre...

      Et puis, par groupe de 3 au début, plus par la suite, "notre" champ se peuple un peu (environ 50 à 60 grues). Hélas loin (dans la partie éloignée par rapport à notre affût - plus de 100 m - sous un arbre, derrière les roselières). Je tente une ou deux photos en rampant et en ne laissant dépasser que le bout de l'objectif. Est-ce moi, ou un autre danger, elles s'envolent (ainsi que certaines de l'autre champ)...

      AAArgh ! Sacrées bestioles... Nos rêves de gros plans s'envolent...

      Heureusement, il nous reste Pont de Gau...

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        5 jours en Camargue pour essayer de voir (et photographier) les grues cendrées qui passent l'hiver près du petit Rhône depuis quelques années...

        Pas faciles à photographier, même si, comme il nous a été dit souvent "Y'en a partout !"...

      Jeudi, nous nous levons très tot pour affûter pour les grues...

      Après quelques observations, les jours précédents, nous décidons d'arriver très tôt (6 h 45) en bordure d'un champ "prometteur". Pas de grues à notre arrivée, mais vers 7 h 30, le ciel commence à se remplir de cris et vols des oiseaux... qui plongent tous vers le champ... derrière le notre...

      Et puis, par groupe de 3 au début, plus par la suite, "notre" champ se peuple un peu (environ 50 à 60 grues). Hélas loin (dans la partie éloignée par rapport à notre affût - plus de 100 m - sous un arbre, derrière les roselières). Je tente une ou deux photos en rampant et en ne laissant dépasser que le bout de l'objectif. Est-ce moi, ou un autre danger, elles s'envolent (ainsi que certaines de l'autre champ)...

      AAArgh ! Sacrées bestioles... Nos rêves de gros plans s'envolent...

      Heureusement, il nous reste Pont de Gau...

Jeudi 14 février 2019 

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        5 jours en Camargue pour essayer de voir (et photographier) les grues cendrées qui passent l'hiver près du petit Rhône depuis quelques années...

        Pas faciles à photographier, même si, comme il nous a été dit souvent "Y'en a partout !"...

      Jeudi, nous nous levons très tot pour affûter pour les grues...

      Après quelques observations, les jours précédents, nous décidons d'arriver très tôt (6 h 45) en bordure d'un champ "prometteur". Pas de grues à notre arrivée, mais vers 7 h 30, le ciel commence à se remplir de cris et vols des oiseaux... qui plongent tous vers le champ... derrière le notre...

      Et puis, par groupe de 3 au début, plus par la suite, "notre" champ se peuple un peu (environ 50 à 60 grues). Hélas loin (dans la partie éloignée par rapport à notre affût - plus de 100 m - sous un arbre, derrière les roselières). Je tente une ou deux photos en rampant et en ne laissant dépasser que le bout de l'objectif. Est-ce moi, ou un autre danger, elles s'envolent (ainsi que certaines de l'autre champ)...

      AAArgh ! Sacrées bestioles... Nos rêves de gros plans s'envolent...

      Heureusement, il nous reste Pont de Gau...